Avantages
Caractéristiques
Avant même que vous ne preniez SmartLite® Pro en main et que vous ne vous mettiez au travail, l’ensemble du système est conçu pour des flux de travail dentaires optimaux et des résultats cliniques prévisibles :
SmartLite® Pro est également équipé de deux batteries pour que vous ne soyez jamais à court d’énergie. Les batteries utilisent la technologie LiFePO4 de dernière génération.
Le grand diamètre de photopolymérisation active de 10 mm couvre des restaurations plus importantes, combiné à une très bonne collimation du faisceau pour une photopolymérisation fiable, même sur de plus grandes distances.
La conception optimisée à 4 LED assure une distribution homogène de la lumière sur l’ensemble de la zone de photopolymérisation. SmartLite® Pro délivre une irradiation moyenne de 1250 mW/cm2. Les profils de faisceau de 4 lampes montrent la distribution de la lumière émise par les pointes1.
Design en forme de stylo, équilibré dans la main.
L’embout de transillumination est une aide au diagnostic qui permet de visualiser les caries interproximales, d’évaluer les dents fissurées et d’éclairer l’accès à l’endodontie. Sa conception sophistiquée comprend une sortie de lumière focalisée de 1 mm avec deux réglages différents (antérieur et postérieur).
Image de gauche : Inspection visuelle
Image de droite : Transillumination
Conçu pour un mouvement multidirectionnel, le SmartLite Pro EndoActivator™ utilise un mouvement elliptique et une énergie accrue pour une activation efficace de l’irrigant. L’activation de la solution d’irrigation produit une surface avec davantage de tubules dentinaires ouverts, offrant une meilleure obturation des canaux latéraux et accessoires.2
Image de gauche : Traité avec SmartLite Pro EndoActivator™
Image de droite : Non traité
Qu’est-ce qui permet de produire une bonne lumière de photopolymérisation et comment SmartLite® Pro peut-il aider à obtenir des résultats plus prévisibles et de qualité élevée ?
Dans une étude récente utilisant de nouvelles lampes de photopolymérisation pour tester la capacité des professionnels de la santé bucco-dentaire à fournir de l’énergie à des restaurations simulées, on a constaté une différence de 10x dans la fourniture d’énergie entre le meilleur et le plus mauvais opérateur.3 La variable est la technique ! Le choix d’une lampe à photopolymériser légère, ergonomique pour un positionnement stable et des commandes simples pour une utilisation cohérente par tous les opérateurs peut contribuer à réduire les possibilités de variabilité de la technique.
L’extrémité du guide de lumière doit être aussi proche que possible et à plat contre la surface de la restauration pour avoir la meilleure chance de diriger la lumière vers tous les coins de la boîte proximale. Les guides de lumière angulés peuvent rendre difficile le maintien de la surface de la pointe de la lumière à plat sur la restauration, en particulier dans la partie postérieure, où 74 % des restaurations directes sont effectuées4,5 Les lampes de type stylo facilitent le maintien de l’angle de photopolymérisation approprié lorsque l’espace est insuffisant, par exemple à l’arrière de la bouche, et dans les cas gériatriques et pédiatriques.
Lorsque la boîte proximale présente une profondeur de plus de 6 mm, les dentistes se demandent souvent si l’adhésif et le composite ont suffisamment durci. Assurez-vous que la lampe de photopolymérisation fonctionne à des distances cliniquement pertinentes plutôt qu’à une puissance de sortie plus élevée.
Pour de nombreux dentistes, la photopolymérisation est un élément sous-estimé de toute procédure de restauration. Ils pensent que lorsqu’ils voient une lumière bleue sortir de la lampe de photopolymérisation, tout va bien et que leur travail est terminé. Cependant, ce n’est pas parce qu’une lumière bleue est émise que la lampe de photopolymérisation fonctionne efficacement. Et si la lumière de photopolymérisation n’est pas efficace, le matériau de restauration ne sera pas suffisamment photopolymérisé, en particulier dans les cavités profondes ou les situations d’obturation. Des études ont montré qu’une photopolymérisation inadéquate peut contribuer à une variété de conditions cliniques telles que la décoloration, l’irritation pulpaire, la sensibilité post-opératoire et finalement l’échec de la restauration. Il ne s’agit pas seulement de s’assurer que la lumière est émise. C’est aussi l’intensité lumineuse, la longueur d’onde, la durée d’exposition, la taille, l’emplacement et l’orientation de l’embout par rapport à la restauration.
Lorsque l’énergie lumineuse n’est pas bien répartie sur l’embout lumineux, il y a des zones de points chauds et froids qui peuvent entraîner une photopolymérisation irrégulière sur l’ensemble de la restauration. Les zones de « points chauds » au centre fournissent parfois une irradiation extrêmement élevée, mais les zones de « points froids » sur les bords fournissent souvent à peine l’énergie suffisante pour photopolymériser la restauration. Il en résulte une photopolymérisation non uniforme sur l’ensemble de la restauration. C’est pourquoi il est important d’avoir un profil de faisceau uniforme.
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